Production en laiton, fonderies de bronze, modèles assemblés à la main.

Les voiture UIC (Union Internationale des Chemins de fer), sont nées au début des années 60, les premières livraisons commencèrent en 1963. Les programmes de financements étant annuels, ils se nommèrent UIC 60 à UIC 71.
De nombreuses variantes et modifications caractérisèrent cette grande série SNCF.

Les variantes d’aménagements, reconnaissables en premiers abords, par le nombre de baies, les voitures UIC étant toutes à compartiments :

• 1ère classe A9 (devenues A4B5 ou A8x avec local de sonorisation),
• Mixte 1ère classe-fourgon A7D (devenues B7D),
• Mixte 1ère et 2ème classes A4B5,
• 2ème classe B10,
• Mixte 2ème classe-fourgon B5D,
• Mixte 1ère et 2ème classes couchettes A4c4B5c5x (toits hauts),
• 2ème classe couchettes B9c9x (toits bas et haut),

En plus de ces nombreux diagrammes, les voitures UIC possèdent de construction de nombreux gros ou petits détails qui les différencient :

– en premier les bogies qui peuvent êtres de trois types, Y24, Y28 et Y16 lms : les bogies Y24 équipent la grande majorité des voitures UIC à l’exception des A9 et A7D du programme 67 et les B9c9x du programme 71, spécialisées au trafic ibérique,

– ensuite les toitures sont de deux conceptions différentes, avec une hauteur différente, plus haute, pour une partie des voitures couchettes,

– autres détails qui permettent de différencier les sous-séries, la présence des anneaux d’arrimage latéraux, rendus nécessaire par l’utilisation des voitures en service international, ces anneaux apparaissent sur les B9c9x à toit bas des programmes 62/63/64 mais il faudra attendre le milieu de la série 65 pour que les voitures B10 en soient équipées, les A9 et A7D du programme 65 Capitole restant sans anneaux,

Sur certaines sous séries, les anneaux peuvent être placés à des endroits différents.

– enfin une des manière de reconnaître les différents programmes, malheureusement présent que d’un coté des voitures, est de se fier au types de commandes des freins, petite niche, placée du coté gauche de la caisse, en décroché des jupes, ils peuvent être équipé d’un ou deux robinets dans une niche plus ou moins haute.

Présentes sur tout le territoire de la SNCF et une grande partie de l’Europe, durant une période qui couvre un demi siècle (des années 60 aux années 2010), ayant pratiquées les vitesses les plus élevées pour des trains classiques, ces voitures restent incontournables.

R37, vous propose un développement complet de cette série, que nous débutons par les voitures B5D.

– tampons à ressort ;
– attelage à vis fonctionnel et interface Kadee # 806 ;
– essieux brunis FINESCALE sur roulements à bille ;
– rayon d’inscription en courbe 1.60 m ;
– portes latérales et d’intercirculation ouvrantes ;
– passerelles d’intercirculation mobiles ;
– conduites d’air et câblots en caoutchouc ;
– soufflets en caoutchouc ;
– nombreux détails notamment dans les compartiments (cendriers, porte-manteaux) ;
– éclairage intérieur des compartiments (passagers et bagages) et couloir ;
– décorations conformes aux originaux.

B5D

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Dessins non contractuels.

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Disponibilité : en stock, prix intéressants

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Références :

• 0 72001 – B5Dd2 51 87 82-70 079-4 (anneaux d’arrimage, portes d’origine) – Ep 4a
• 0 72002 – B5Dd2 51 87 82-70 025-7 (anneaux d’arrimage, portes d’origine) – Ep 4a
• 0 72003 – B5D 51 87 82-70 036-4 (anneaux d’arrimage, portes d’origine) – Ep 4a
• 0 72004 – B5Dd2 51 87 82-70 026-5 (anneaux d’arrimage, portes modernisées) – Ep 4a
• 0 72005 – B5Dd2 50 87 82-70 030-8 (anneaux d’arrimage, portes modernisées) – Ep 4b
• 0 72006 – B5D 50 87 82-70 022-5 (anneaux d’arrimage, portes modernisées) – Ep 5